Byzance, c’est l’alliance de deux grandes cultures, quand tout le classicisme et la rigueur de l’univers gréco-romain rencontrent les fastes et les folies de l’Orient. Ce mélange de rationnel et d’irrationnel donne lieu à la naissance du Baroque. Byzance c’est l’outrance et le délire, la fête et la sophistication des sens. C’est le classique qui ouvre la porte à la fantaisie, à l’imaginaire.

Mais Byzance c’est aussi l’affirmation de l’éternel retour, de l’intemporel. Alors 33 ans plus tard, la maison réinvente ce mythe intemporel en faisant évoluer son sillage et son flacon vers le troisième millénaire.

Maurice Roucel et Aliénor Massenet ont retravaillé le floral oriental composé par Nicolas Mamounas en 1987. La fraîcheur lumineuse de la bergamote éclaire une poire tendre et fruitée arrondie par la douceur hespéridée du néroli. En cœur, on retrouve la signature sensuelle et opulente de la rose sublimée par les notes suaves du freesia et de l’héliotrope. Le sillage oriental de bois envoûtants et de vanille charnelle s’inscrit dans la sensualité des muscs, comme une invitation à l’ivresse.

Le mythique flacon bleu nocturne aux détails dorés se métamorphose. Plus épurée, sa silhouette arrondie se teinte d’un bleu nocturne cerclé d’une plaque d’or. Gravée dans la plaque, le nom Byzance interpelle et invite à s’échapper vers de lointains ailleurs. Scellé d’un bouchon doré et d’un lien noir texturé, ce flacon préserve tous les secrets des fastes de Byzance.