Depuis 1932, la maison Nina Ricci accompagne les femmes dans leurs révolutions. Bienveillante, elle répond à leurs attentes et désirs par des créations protectrices et mystérieuses. Odes à la féminité, les parfums Nina Ricci subliment les femmes au plus profond de leur sensualité. A chaque époque, une aspiration et un rêve sont mis à nu. En 1948, L’Air du Temps, floral épicé, évoque une femme en harmonie avec elle-même et ce qui l’entoure. En 2006, Nina, floral fruité, explore l’imaginaire d’une jeune fille, espiègle, entre féérie et premiers désirs.
Aujourd’hui, la maison de Couture libère un nouveau rêve féminin avec L’Extase. Ce parfum révèle ses envies les plus secrètes, une féminité habitée d’érotisme. Etre soi, même nue. Un rêve érotique féminin, un voyage imaginaire et charnel, au plus près de sa sensualité.
Nina Ricci évoque le désir féminin par un floriental musqué. Dans ce sillage charnel, deux accords se répondent. Autour d’un bouquet de pétales blancs, paresemé de baies roses, la rose surgit comme une caresse sur la peau. Alors, les muscs nous plongent dans la sensualité de ce rêve érotique ponctué des notes troublantes et enivrantes du benjoin et de l’ambre.
Serti d’une bande dorée sur la tranche, le flacon s’inspire d’une création emblématique de la maison, un sac clutch. En écho à ce rêve charnel, le verre s’habille d’un mystérieux dégradé de mauves sombres. Souligné d’un sensuel ruban de satin noir, le bouchon rappelle le fermoir du clutch.
Libre et instinctive, d’une sensualité absolue, Laetitia Casta révèle ce fantasme. Au faîte de sa féminité, Laetitia Casta croise un inconnu dans l’ascenseur d’un immeuble parisien. Jeux de regards, pudeur incandescente, les corps entrent en tension. Lorsqu’une main s’agrippe, le désir monte, envahit les sens et s’empare des corps. L’étreinte est passionnée quand soudain la porte s’ouvre. Elle sort de l’ascenseur. Rêve ou réalité ?