Il était une fois, en Inde, une histoire d’amour entre un empereur moghol et son épouse adorée. L’empereur Shah Jahan fit dessiner pour protéger sa divine épouse, Mumtaz Mahal, de magnifiques jardins appelés Shalimar. Un jour, il voulu immortaliser leur passion en édifiant le Taj Mahal qui devint une merveille admirée par le monde entier. Quatre coupoles de marbre blanc juchées sur des minarets encadrent un gigantesque dôme de marbre immaculé. Des façades ajourées comme brodées dans la pierre, des galeries aux arcades élégantes, des portes, des balustrades incrustées de pierres semi-précieuses… Un présent extraordinaire en hommage à leur amour.
En 1921, cette légende inspira à Jacques Guerlain un sillage délicieusement charnel, le premier parfum oriental : Shalimar. Près d’un siècle plus tard, Thierry Wasser narre cette histoire par un souffle de légèreté et d’une extrême sensualité.
Cette parure lumineuse et précieuse s’envole sur les notes hespéridées et pétillantes de la bergamote, signature de Shalimar, soulignée par la fraîcheur du citron et de la mandarine. Puis, un bouquet rayonnant de jasmin sambac s’allie à l’absolu des eaux de fleur d’oranger pour renforcer la facette florale de Shalimar. Ultime caresse, les muscs blancs enrobent de leur halo crémeux les vanilles d’Inde et de Tahiti, ingrédient mythique de Shalimar.