Mais que se passe-t-il dans la serre botanique de La Petite Robe Noire ?
Notre Petite Robe Noire célèbre le retour du Printemps et des beaux jours dans une nouvelle robe. Insolente et mutine, elle s’habille d’une robe verte et pétillante qui exprime une nouvelle facette de sa féminité. Poétique et magique, elle nous met au parfum de sa nouvelle robe pétales dans un nouveau film.
Une eau fraîche. Et oui ! La Petite Robe Noire agrandit désormais son vestiaire d’une tenue fusante, légère et rayonnante. Thierry Wasser, son pygmallion lui a composé un floral vert, une symphonie de fleurs printanières, ponctuée de notes pistache et amande. Elle s’ouvre sur une fanfare d’agrumes : essence de mandarine, bergamote et citron, piquée de notes vertes. Puis un grand bouquet de roses est rafraîchi par une brasée de freesia et ébloui par la sensualité du jasmin. Le sillage rappelle les notes gourmandes du vestiaire de La Petite Robe Noire : pistache, amande amère et fève tonka concluent cette symphonie.
Le flacon maison de La Petite Robe Noire s’habille d’un vert tendre et pétillant. Avec ses épaules arrondies et son bouchon aux allures de cœur inversé, il est immédiatement reconnaissable. A travers le jus couleur pistache, on distingue une nouvelle petite robe décolletée aux volants pétales croquée à l’encre noire.
L’écran noir tombe en un coup de pinceau, et le dessin d’une robe prend vie. En parisienne délurée, la silhouette ondule et sa robe encre dessine des gouttelettes qu’elle projette un Paris de fantaisie. Elle fait tourbillonner le cœur d’un portier beau garçon, avant de s’envoler essayer différentes tenues devant son miroir qui lui attrape sa robe. Nue, elle traverse le miroir et pénètre dans une serre botanique. Deux couturiers-jardiniers s’activent autour de sa robe pétale, avant qu’elle ne s’envole rejoindre son joli groom au cœur de son flacon maison.