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Un nouveau chapitre pour l'Eau de Toilette J'adore, où s’esquisse le paradoxe d’une légèreté au sillage très dessiné. À la richesse du resplendissant bouquet de l’eau de parfum répond aujourd’hui, sans aucune timidité, l’eau de toilette avec le choix de magnifier les pétales de fleurs. Une légèreté sans naïveté, une délicatesse sans mièvrerie incarnent l’eau de toilette. À l’origine du New Look, la robe corolle de Christian Dior s’épanouissait telle une fleur, la profusion du plissé donnait du volume en légèreté. Le bouquet de J’adore s’épanouit et se développe de la même manière avec la nouvelle eau de toilette. Comme dans l’eau de parfum, les fleurs ne se distinguent pas, elles se répondent dans une précieuse harmonie. Une harmonie orchestrée avec mesure autour des matières premières les plus nobles.  En tête, les notes fraîches et hespéridées sont plus présentes. L’accent est mis sur la finesse d’une mandarine jaune pour donner éclat et pétillance. En coeur, la signature de J’adore est reconnaissable à son bouquet où se redécouvrent les fleurs du parfum, dans un travail autour du pétale. Rose Damascena, Ylang-Ylang, jasmin Sambac et fleur d’oranger de Tunisie composent un bouquet plus délicat qu’opulent. Boisé et doucement vanillé, le fond permet de conserver un beau sillage à l’eau de toilette. Dès ses premiers parfums, Christian Dior a choisi l’amphore comme flacon, en écho aux courbes sensuelles de sa mode. Anthropomorphisme élégant, elle rappelle la ligne « en 8 », signature du New Look, où la silhouette femme fleur s’esquisse : « tailles fines comme lianes et jupes larges comme corolles ». Emblématique, l’amphore se dessine pour la nouvelle Eau de Toilette plus élancée, tout en conservant la grâce de ses courbes arrondies et sensuelles. D’or vêtu, l’esprit du collier massai enserre le col.  L’Eau de Toilette prend aujourd’hui sa place au coeur d’une palette harmonieuse qui, en cinq facettes, se révèle. Chaque variation est une nouvelle silhouette autour d’un même modèle, un bouquet floral réinterprété. Découvrez J’adore ou les cinq écritures d’un parfum ici... |
