En 1978, Cacharel imagine le premier parfum pour jeunes filles : Anaïs Anaïs. Ce parfum séduit toute une génération avec son univers intimiste et subversif. Au cours des décennies, Cacharel accompagne les femmes avec Loulou, le parfum de la séduction, puis Eden le parfum défendu, suivi de Noa le parfum prodige et enfin d’Amor Amor, le parfum de l’amour qui séduit les adolescentes.
40 ans plus tard, Cacharel offre aux femmes le parfum de l’indépendance, de l’émancipation et de l’affirmation de soi : Yes I Am. Comme un manifeste, ce parfum est une déclaration de féminité assumée, l’affirmation d’une jeune femme qui écrit sa propre histoire et décide de son futur.
Yes I Am se construit autour de contrastes et d’oppositions. L’envolée fraîche et fruitée de framboise et de mandarine rencontre l’essence épicée et boisée de cardamone. Le cœur suave et solaire de jasmin et de gardénia s’oppose à la fraîcheur épicée du gingembre. Enfin, le sillage chaleureux et boisé du santal et du benjoin se mêle aux muscs cotonneux et réconfortants.
Cacharel s’est emparé d’un des codes de la féminité pour le détourner en flacon : un rouge à lèvre. Le flacon en verre matelassé d’un profond noir fumé imite le tube du rouge à lèvre quand le capot vaporisateur reproduit le bâton de rouge. Signé Cacharel sur la bague dorée qui sertit le rouge, ce flacon est un véritable manifeste à brandir comme une arme d’affirmation de soi.